Patinoire place du Cap à Toulouse, Ski à Paris, ....
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Quelqu'un pourrait il faire le bilan énergétique des amusement de nos politiciens ....
et d'autres ou les yeux se tournent 
La Plagne (73) - Piste olympique de bobsleigh
C'est le pouilleux des Jeux d'hiver, l'équipement dont personne ne veut.
Lors des derniers Jeux, les Turinois ne s'y sont pas trompés :
une fois la compétition terminée, leur piste de bobsleigh a été démontée.
A La Plagne, qui s'était dévouée pour accueillir les épreuves de bob, luge
et skeleton quatorze ans plus tôt, on n'a pas voulu se résoudre à pareille extrémité.
L'équipement, sans équivalent en France, avait tout de même coûté 250 millions de francs
(38,11 millions d'euros) contre 120 prévus initialement.
Malgré le faible nombre de licenciés (148 pour le bob !), il fut donc décidé de le conserver.
Restait à le faire fonctionner en limitant l'impact financier pour la station.
Pas une mince affaire. Une piste de bobsleigh coûte pas moins d'un million d'euros chaque année.
Grâce à une politique de diversification orienté vers les loisirs,
les entreprenants Savoyards ont réussi à limiter la casse.
La gamme d'activité proposée - taxi-bob, bob-raft, luge sans pilotes - séduit plus de 14 000 visiteurs chaque hiver.
Confiante en l'avenir, la commune a décidé cette année de réinvestir pour maîtriser les coûts d'entretien
(couverture des virages les plus exposés, remplacement de l'amoniac par un frigorigène écolo),
et accroître la polyvalence de la piste, partagée entre usage ludique et entraînements de compétition.
Coût des travaux : 6,2 millions d'euros.
Financé pour un tiers par l'Etat, qui, visiblement, n'a pas oublié le « sacrifice olympique » des Plagnois.
C'est le pouilleux des Jeux d'hiver, l'équipement dont personne ne veut.
Lors des derniers Jeux, les Turinois ne s'y sont pas trompés :
une fois la compétition terminée, leur piste de bobsleigh a été démontée.
A La Plagne, qui s'était dévouée pour accueillir les épreuves de bob, luge
et skeleton quatorze ans plus tôt, on n'a pas voulu se résoudre à pareille extrémité.
L'équipement, sans équivalent en France, avait tout de même coûté 250 millions de francs
(38,11 millions d'euros) contre 120 prévus initialement.
Malgré le faible nombre de licenciés (148 pour le bob !), il fut donc décidé de le conserver.
Restait à le faire fonctionner en limitant l'impact financier pour la station.
Pas une mince affaire. Une piste de bobsleigh coûte pas moins d'un million d'euros chaque année.
Grâce à une politique de diversification orienté vers les loisirs,
les entreprenants Savoyards ont réussi à limiter la casse.
La gamme d'activité proposée - taxi-bob, bob-raft, luge sans pilotes - séduit plus de 14 000 visiteurs chaque hiver.
Confiante en l'avenir, la commune a décidé cette année de réinvestir pour maîtriser les coûts d'entretien
(couverture des virages les plus exposés, remplacement de l'amoniac par un frigorigène écolo),
et accroître la polyvalence de la piste, partagée entre usage ludique et entraînements de compétition.
Coût des travaux : 6,2 millions d'euros.
Financé pour un tiers par l'Etat, qui, visiblement, n'a pas oublié le « sacrifice olympique » des Plagnois.
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